PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE
« Lorsqu’on demande aux Canadiens et aux Québécois s’ils pensent que le bilinguisme officiel est un élément positif, 70 % des Québécois disent oui, contre seulement 35 % des autres Canadiens », écrit notre chroniqueur.
PHOTO FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL
Le balcon de l’hôtel de ville de Montréal, où le général de Gaulle a prononcé son célèbre « Vive le Québec libre ! » en 1967
PHOTO RYAN REMIORZ, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE
Maxime Pedneaud-Jobin, Valérie Plante et Régis Labeaume, en septembre 2020, lors d’une conférence de presse à Montréal
PHOTO PHILIPPE BOIVIN, ARCHIVES LA PRESSE
« La nature même de la municipalité a changé : elle n’est plus là pour offrir des services à des propriétaires, mais à toute la population », écrit Maxime Pedneaud-Jobin.
PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE
Dans une récente étude sur l’état du français à la radio, la chercheuse Marie-Josée Olsen a noté que le recours – bien souvent évitable – aux anglicismes était omniprésent dans une majorité de cas. Une situation regrettable, estime notre chroniqueur.
PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, le premier ministre François Legault et le ministre responsable des Infrastrucutres, Jonatan Julien, lors de l’annonce de la création du Musée national de l’histoire du Québec, le 25 avril dernier
PHOTO SIMON DAWSON, ARCHIVES BLOOMBERG
« La malhonnêteté de certains individus n’est pas la principale menace pour les fonds publics, la corruption des esprits fait beaucoup plus de tort », écrit Maxime Pedneaud-Jobin.
PHOTO RON POLING, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE
Le premier ministre du Québec de l’époque, René Lévesque, montre l’Accord constitutionnel du 5 novembre 1981, signé par le premier ministre du Canada Pierre Elliot Trudeau, ainsi que toutes les provinces sauf le Québec.
PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE
La résidence PAX Habitat, à Joliette, est un ancien monastère reconverti en OBNL, dont une bonne partie des locataires ont un faible revenu.
PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE
Ce n’est absolument pas un palmarès des pires routes du Québec. C’est le résultat d’un vote en ligne de gens en colère, écrit Maxime Pedneaud-Jobin.